mardi 29 avril 2014

A Werewolf Boy

Suite à un appel téléphonique, Kim Suni, une femme âgée, décide de retourner en Corée du sud, là où elle a vécu alors qu'elle était plus jeune. Et accompagnée de sa petite fille, elle se remémore cette étrange rencontre qu'elle y avait fait il y a bien longtemps de cela...

Alors qu'elle aménageait dans un chalet perdu dans les plaines en raison de sa faible constitution, elle fit la rencontre d'un garçon qui ne semblait jamais avoir côtoyé d'humain...

Déclaré comme étant orphelin de guerre, ce garçon semble avoir grandit par lui même dans les montagnes. Et par un concours de circonstance, ils devront le garder le temps qu'une solution soit trouvée pour lui.

Et même si de prime abord la cohabitation semble compliqué et vraiment mal partie entre Suni et Cheol Su, elle décidera bien vite de prendre son éducation en main. Et une complicité (et peut-être bien plus ?) naitra alors entre eux....


Film Coréen
Non licencié en France
Une histoire à la fois belle et touchante !


J'ai démarré le film sans apriori, ni conviction particulière... Mais j'ai très vite été happée dans cet univers que l'on vous présente : il est simple, beau et touchant. Sans user d'artifice particulier, il parvient à créer une ambiance très douce dès le début du film qui permettra à ce film d'avoir un petit je ne sais quoi qui le rends si unique.

En effet, si l'on regarde bien ce film... Il ne vous raconte rien d'extraordinaire ou presque (tout du moins dans 75% du film, je parlerai des 25% qui reste par la suite) et pourtant, tout est vraiment magnifique. J'ai déjà tout de suite pensé à Victor, l'enfant sauvage que j'avais vu il y a un petit moment (et très en diagonal je l'avoue). L'idée m'avait donc plu et le résultat est franchement réussit, après tout sur un film de plus de deux heures tout s'enchaine sans vous laisser le temps de vous ennuyer (et pour tenir mon attention sur autant de temps, je dois bien avouer qu'il faut que ça soit vraiment intéressant) !

Le point fort de ce film, ce sera donc bien sûr le traitement du scénario qui se veut sans artifice (comme je l'ai déjà dit), mais également les deux protagonistes autour duquel l'histoire tourne. Je tiens déjà à faire remarquer que les deux acteurs (que je ne connaissais encore une fois pas du tout) sont très bons et surtout Cheol Su, qui incarne vraiment magistralement ce garçon qui semble tout ignorer de la vie. C'est assez difficile à expliquer, mais ils jouent leurs rôles de manière très juste, honnêtement on y croirait presque. Ensuite pour les protagonistes en eux-même, leurs rôles sont bien écrit et le liens que l'on installe subtilement entre eux est on ne peut plus touchant. Un vrai régal de les regarder évoluer !


Des évènements plutôt décevants et incongrus

J'ai cependant regretté que le côté "fantastique" soit confirmé par des explications bancales (de mon point de vue). Afin d'éviter tout spoil, je n'entrerais pas dans les détails, mais étant comme je l'ai dit étant dans l'optique de Victor, l'enfant sauvage... Pour ceux qui ont vu le film, il comprendront ma déception à ce niveau là.

Disons que globalement, j'aurais préféré que le film reste plutôt vague quand à l'identité de Cheol Su, ça n'aurait rendu ce film que plus beau. Il n'y a que la fin de leur histoire qui parviens à rattraper ce choix à mes yeux et qui fait que je ne les en blâmerait pas trop pour ce point là. Puisque même avec ça, je n'en ai pas moins apprécier ce film.

[Spoiler (surlignez pour lire)]Pour moi le truc de trop, c'est d'avoir poussé le vice à faire parler Cheol Su. Si on prend en compte qu'il faut faire certains apprentissage avant un âge donné et qu'ils ne sont pas possible après... Ça casse carrément tout et déjà que je n'aimais pas cette fin à la noix, mais là c'était le pompon ! (OK, il n'est pas humain, mais la beauté de ce film résidait aussi dans ce lien subtil qui existait entre eux, sans qu'il n'ait rien à dire >.<)


Une fin à rallonge... Franchement pas utile !

Oui, j'avoue que 15 minutes (les fameuses 25% du film dont j'ai omis de parler avant) avant la fin réel du film j'ai commencé à m'ennuyer... Il ne s'y passait en effet plus bien grand chose et l'histoire semblant terminé (puisque la femme racontant ce qu'il lui est arrivé était arrivé au bout de son récit, cela aurait pu marquer la fin du film ou presque d'une manière vraiment jolie et sans fausse note) je ne voyais donc pas vraiment où on allait arriver....

Et franchement, avoir à ce point voulu caser... Je ne sais même pas comment appeler ça compte tenu du contexte. Mais bref, pour moi c'était superficiel, absolument pas touchant et surtout inutile. Ça brisait presque toute la poésie et la beauté de ce film que j'avais pourtant dévoré sur presque deux heures. J'aurais infiniment préféré que Kim Suni reparte sur ses souvenirs !!!

Un film que j'ai vraiment trouvé beau et touchant de par cette simplicité qui s'en dégage. C'est tellement doux que je me suis laisser bercer par l'histoire qui vous est raconté. Il n'y a bien que cette fin qui m'a vraiment déçu, dommage que le film finisse donc là-dessus puisque ça fini par tout gâcher (puisque c'est du coup la dernière impression que laisse ce film)... Dommage !




« Un film vraiment magnifique, quelque peu gâché par cette fin à laquelle je n'ai pas (du tout) adhéré »

Cette chronique a été réalisé dans le cadre du 6ème projet lancé via le forum.
Tu pourras donc retrouver d'autres avis sur ce film en cliquant sur les différentes vignettes placée ci-dessous :


    http://tracesdutemps.wordpress.com/2014/04/19/critique-film-confession-of-murder/       

lundi 28 avril 2014

My Playlist - Avril



Alors que je préparais cet article tout au long de ce mois comme les deux précédents, j'ai bien cru arrivé au 15 Avril qu'à ce rythme je n'allais trouver aucune nouvelle chanson.... ! Constat plutôt difficile quand on sait que j'ai écouté Sword of Virgin pendant trois heures d’affilée chaque jour et que mon cerveau semblait me crier "par pitié, achève-moi" *rires*

M'enfin, par le plus grand des hasards et par le biais des chansons que j'écoutais le mois dernier, j'en ai trouvé une, puis deux... Et cet article à d'un coup pris de l'allure *rires* Ma playlist se partage donc encore une fois entre les fripside et leurs chansons créer pour les eroge et le µ's (/ A-rise) de l'animé Love Live dont je te parlerai (très) prochainement ~

Mon cerveau me remercie donc... Mais pour combien de temps encore, j'ai le sentiment qu'il va tarder à recommencer à râler d'avoir toujours les mêmes chansons en boucle *rires*

Et toi, qu'écoutes-tu en boucle en ce moment ?! Dis-le moi vite ~

Coup de coeur : Fortuna on the Sixteenth night by Fripside

>> Parole et traduction



My April's playlist

Miracle Luminous by Fripside (parole et traduction) /!\ Cette vidéo contient de la nudité !
Fortissimo by Fripside (parole et traduction)
Wonderful Rush by µ's (parole et traduction)
Start : dash by µ's (parole et traduction
Bokura wa ima no naka de by µ's (parole et traduction)
Private wars by A-rise (parole et traduction)

samedi 26 avril 2014

Qui est la meilleure mangaka shôjo ?

Dans le cadre de la semaine du Shôjo organisé par le club shôjo, j'ai reçu une mission à haut risque et classé secret d'état (comment ça elle ne le sera plus si j'en parle ici... rien ne te dit que je te laisserai en vie une fois ta lecture terminée... ? Oups, ça il ne fallait pas le dire, mais c'est trop tard). La mission était donc de désigner la meilleure mangaka shôjo et... Quel choix cornélien, comment pourrais-je ne citer qu'une auteure ?! Qui vais-je au final choisir ? La suite au prochain épisode... OK, rangez vos couteaux de cuisine, je me rends ! *rires*

Face à tant d'action et suspense en perceptive, je pense que l'on va lever le voile et commencer (réellement) cet article ! Mais avant de te donner le nom de mes nominées (et de les laisser se battre comme des chiffonnières pour voir qui l'importe *rires*), je vais rapidement énoncée ce qui fait, à mes yeux un bon shôjo. Oui, c'est pas le thème, mais ça permettra d'expliquer mon choix.


Un bon shôjo c'est donc...

  • De beaux graphismes, même s'il m'arrive d'aimer un manga dont je ne suis pas fan du graphisme.
  • Une héroïne / un héros attachant(e) que l'on a pas envie de baffer toute les deux pages (parce que pour moi, c'est trop frustrant de ne pas pouvoir le faire) et qui a un minimum de caractère.
  • Une bonne histoire, pas nécessairement compliqué mais qui se tient.
  • Une histoire qui sait s'arrêter quand il faut, sans avoir la mauvaise idée de tirer un peu trop sur la corde... Au risque de l'user et de finir par la briser.
  • Un traitement efficace des sentiments, qui plutôt que d'en faire une tonne pour rien (une héroïne qui pleure sur toute les pages paires), joue sur des nuances plus subtiles.
  • Une relation qui évolue avec un rythme correct, 15 volumes pour au final en être toujours au point de départ, très peu pour moi.


Et maintenant que tu as à peu près cerné ce que j'aime dans un shôjo, passons à présent aux candidats* en listes pour être la meilleurs mangaka shôjo... Pour moi bien évidemment ! Pour chaque auteure, j'ai indiqué quelques titres qui font qu'elles sont nominées afin que tu vois mieux de qui il s'agit  :
  • Enjoji Maki : Happy Mariage, Private Prince.
  • Oda Aya : Ensemble jusqu'à la fin du monde, Hakoniwa Angel, Lovey Dovey, Playboy Café, Room Paradise.
  • Miyasaka Kaho : A Romantic Love Story, Kare first love, Real Kiss.
  • Sakai Mayu : Nagatacho Strawberry, Le syndrome de Peter Pan, Momo la petite diablesse, Rockin Heaven.
  • Tanemura Arina : Full moon, The Gentleman Alliance Cross
  • Watanabe Shiho : 17 sai,  Hatsukare x Hatsu Kano, Setsuna no Rakuen, etc
  • Yokoyama Mayumi : 4 pure love, 4 reasons to fall in love with him, galism, Shiritsu 
  • Yoshihara Yuki :  Darling la recette de l'amour, Ma petite maitresse, Venus ni Arazu
  • Yoshizumi Wataru : Capuccino, Cherish, Chitose etc, Mais moi je l'aime, Kimi Shika Iranai, Marmalade Boy, Mint na Bokura, PxP, Random walk, Spicy pink, Ultra Maniac.
  • Yuu Watase : Fushigi yugi, Fushigi yuugi - la légende de Genbu, Imadoki, Lui ou Rien.


Malheureusement pour moi, y'a pas eu de bagarre et donc pas de gagnantes, il va donc falloir que je les départage moi-même... La poisse, j'aurai sû, j'aurai pas autant cherché à allonger la liste ! Bon bah allez, j'arrête de repousser l’inéluctable...


Alors sur mes nominées, en 10ème place, j'ai nommée...

Oda Aya

   

Auteur dont j'ai lu beaucoup de ses titres. Oui j'ai même remarqué que j'avais presque tous ses titres publié en France, c'est pour dire. Mais cet amour que je lui porte n'est pas aveugle et même si ses titres sont toujours plutôt sympa à lire, il souffre vraiment d'avoir des protagonistes très voir trop similaires (et j'ai fais l'erreur de relire 4 de ses séries à la suite... *sifflote*).

Donc même si l'auteur à toujours un scénario sympa à nous proposer, je dois bien avouer que dernièrement je suis plutôt lassée et son dernier titre en date, Room Paradise m'a d'ailleurs quelque peu déçu. J’espérai pour ainsi dire un traitement plus adulte (type Josei) de la situation. Mais outre cette histoire, ses manga se mangent comme des petits pains et sont parfaits quand je ne trouve pas le sommeil (ils sont d'ailleurs pile poil à portée de main pour cet usage).


Puis, a la 9ème place, j'ai nommée...

Yoshihara Yuki

  

Très honnêtement, ce que j'aime chez cette mangaka, c'est son humour complétement loufoque (tout comme ses personnages). C'est toujours sans prise de tête et un réel plaisir à lire et relire, même quand on connait l'histoire par cœur *rires* Sans m'étaler là dessus, ses manga ont le même problème que ceux d'Oda Aya, les personnages sont souvent identique et comme l'histoire est souvent des plus banales, ça peut vite lasser et j'avoue ne pas avoir acheté son dernier manga sortis chez nous pour cette raison.


Ensuite, en 8ème place j'ai nommée...

Yokoyama Mayumi

     

Un coup de foudre improbable pour cet auteur... Puisque la première fois que j'ai lu un des titres, Galism, j'avais un mal de fou à en venir à bout. Difficile à expliquer, mais c'était presque pénible pour moi à lire... Et chose plutôt surprenante, c'est que ce même Galism j'en ai usé les volumes quelques années plus tard à force de relire la série ! 

Orienté amour / comédie, tous ses titres paru en France (à l’exception du Shiritsu saison 2 que je n'ai pas lu) sont vraiment tordants, c'est (un peu) du grand n'importe quoi, ça part dans tous les sens mais c'est juste excellent au final ! Honnêtement, quand je ne sais pas lire et que je ne veux pas me prendre la tête, Yokoyama Mayumi c'est vraiment l'auteur qu'il me faut (dire que j'ai manqué de l'oublier... *shhhh*) !

Ensuite, en 7ème place j'ai nommée...

Sakai Mayu

   


Une des seules auteurs de mon classement que j'ai découvert avant sa licence en France. Et même en connaissant déjà l'histoire (Rockin Heaven), la petite Sawa Konichi, jolie jeune fille au caractère bien trempé et son vilain beau gosse continuent de me faire rêver... Oui, je l'avoue sans honte ! Parce que tu sais quoi, au diable les clichés, parce que de toute façon je les aime XD

Et même si ses histoires ne sortent pas trop d'un certains schéma pré-établit, c'est toujours un plaisir à lire et à regarder, parce que le coup de crayon de la mangaka est juste magique ♥



En 6ème place, nous avons...

Miyasaka Kaho


   

C'est un peu cet mangaka qui m'a initié au shojo avec Kare First Love il y a plus de dix... Que d'émotions !
Et je dois avouer que ses titres sont devenus pour moi des bibles (hormis certains titres plus anciens comme Binetsu Shojo auquel je n'ai que très moyenne accroché). A la fois beau et subtil, j'aime suivre les déboires de nos pauvre héroïne malmenée par ce beau gosse toujours si bien entouré (petit clin d’œil à l'article Anatomie d'un shojo : les lois du shojo).

Très difficile de vous dire ô combien j'aime cette mangaka, parce que toi qui lit aussi beaucoup de manga, tu sais que les premières fois, ce sont des souvenirs qu'on chéri toute sa vie... ♥


En 5ème place, nous avons...

Arina Tanemura

   

J'avais découvert Arina Tanemura par son excellentissime Full Moon et il faut bien avouer que ce titre avait tout pour être marquant. Mitsuki n'a qu'un rêve, celui de retrouver Eichi son amour de toujours... Mais la réalité est bien cruelle et la façon dont-on te l'apprends aussi... Et quel prouesse de faire d'un titre si pleins de désespoir une ode à l'espoir !

Arina Tanemura a un peu l'art et la manière de toujours parvenir à créer une foule de personnage dans chacune de ses œuvres et de n'en délaisser aucun, en rendant le tout à la fois déchirant et plein d'espoir. Un vrai paradoxe ! Les personnages sont toujours fouillés et on prend plaisir à connaitre chacun malgré leur nombre toujours un peu conséquent. Et le tour de force d'Arina Tanemura, c'est que tu n'arrives jamais à détester personne au final !

Quant à ses titres de manière plus général... C'est toujours un vrai déchirement pour moi... ! Et ces sentiments si bien mit en avant font que cette mangaka occupe une place toute particulière dans mon coeur. Et même si je n'ai presque parlé que de Full Moon, on retrouve sans aucun mal les mêmes ingrédients qui en ont fait un succès dans The Gentlemen Alliance Cross !

En 4ème place, nous avons...

Yuu Watase

   

Comment avais-je connue cette mangaka... Le trou noir !
Si pour toutes les autres je sais par quel titre j'ai pu commencer, ici c'est un vrai mystère... Peut-être avec Alice 19th au moment de sa sortie puisque je me souviens avoir suivit la série pendant sa publication, on va dire que c'est ça pour classer l'affaire et passer à la suite XD

Et si Alice à été une petite révélation que j'ai à l'époque (et encore aujourd'hui) lu et relu, j'ai également pu découvrir bien d'autres titres de notre mangaka et les apprécier à leurs tours. Il faut dire que de toutes les mangaka que j'ai pu citer jusqu'ici, c'est la seule à donner dans le fantastique, un genre dont je suis pourtant si friande (oui, s'il y a de la magie, je serai toujours partante, surtout avec une belle histoire d'amour en prime).

Le titre qui m'aura le plus marqué reste sans doute Fushigi Yuugi (le premier) qui a été une véritable claque dans tous les sens du terme... Même si j'avais commencé le dit titre par le volume 13 (oui, par la fin) et que la première fois, je n'avais rien compris (on se demande bien pourquoi). Mais ça mis à part, Yuu Watase est vraiment une grande dame du shojo (fantastique) et a, à ce titre, une place toute particulière dans mon cœur ~



En 3ème place, nous avons...

Wataru Yoshizumi

   

Mangaka dont j'ai lu quasiment toutes les séries qu'elle soit licencié ou non... Et dont j'ai apprécié chacune d'elle... Est-ce vraiment possible ?! Elle fait avec Kaho Miayasaka des premières Managaka que j'ai découverte avec Marmalade Boy.

L'univers présent est toujours plus ou moins identique (puisque l'on a souvent à faire à des collégiennes / lycéenne) en proit à des doutes quand à leur relations amoureuses : que ce soit Yuka (Random Walk) qui se demande si elle pourra un jour avoir un petit ami, Moka (Mais moi je l'aime) qui aimerait bien que celui qu'elle aime puisse sortir avec elle sans avoir besoin pour cela de se trouver un petit ami au préalable (si si, tu as bien compris, ce gars ne sort qu'avec des filles déjà prise) ou encore Totoki, qui tombé amoureux d'Akane qui à 16ans est déjà divorcée... Si, elle à osée !

Bon, si on y regarde bien, il n'y a pas forcément de quoi casser trois pattes à un canard (si toi aussi tu trouves ce proverbe absurde, n'hésite pas à me le dire... je l'utilise, mais j'en pense pas moins *rires*) mais je suis à chaque fois conquise... La loi des premières fois entrerait-elle de nouveau en cause ?! Parce que oui, j'ai découvert cette mangaka exactement en même temps que Kare First Love (Kaho Miyasaka).


En 2nd place, nous avons...

Enjoji Maki

   


Découverte par le plus des hasards avec Private Prince, ça à rapidement été un coup de foudre ! Loin de mes histoires de lycéenne, ici on parle de relation adulte, les vrais... ! Non, je déconne, c'est pas tant ça mais le traitement plus adulte des manga qu'elle propose qui m'a séduite assez rapidement et des héros toujours attachants !

Le traitement des relations est donc plus adulte, tous comme les personnages qui sont présentés... Un shojo sans doute plus adapté à mon âge actuel dira-t-on (oui, je sais il est temps que je grandisse... j'essaierai d'y penser... demain...) ? Ses titres se lisent et relisent à volonté (je ne m'en prive d'ailleurs pas) et arrive toujours à vous pincer le cœur, peu importe le nombre de fois.

Dur à expliquer que ce sentiment... Mais en tout cas, Enjoji Maki bien que découvert tardivement vis à vis de toutes les autres auteures citées n'aura eu aucun mal à rejoindre une bonne place. Mais bon, c'est tout mérité ~


Et pour terminer par la meilleure, venons-en à la 1ère place, j'ai nommée...

Watanabe Shiho

   

Elle n'est malheureusement pas connu en France puisque aucun de ses titres n'a trouvé preneurs auprès de nos éditeurs... Mais il faut dire qu'elle n'a jusqu'ici écrit presque que des one shot ou des histoires courtes en un volume.

Qu'il s'agisse de son graphisme que je trouve juste sublime ou encore ces héroïnes qui détonne un peu par rapport à celle présentée classique... Certaines n'hésitant pas à être audacieuse ou bien loin de l'image de la petite fille modèle pour avoir celui qu'elle aime (dans Setsuna no Rakuen, Yuzuki n'hésitera pas à mentir pour briser le couple que celui qu'elle aime forme déjà...!). La seule chose qui est un peu dommage, c'est la carrure un peu freluquette de certains (beaucoup ?) personnages masculin, mais bon ils sont beaux alors on ne peut pas tout avoir (?).

Le traitement des sentiments est toujours si juste, exacerbé et pourtant... Rah, c'est bien trop dur à expliquer avec des mots, mais c'est vraiment poignant et sans aller jusqu'à verser une larme (honnêtement, ça m'arrive bien peu de manière général) je compatis souvent avec elles face à ce qu'elle vive et surtout, les happy end ne sont pas une généralité. Autant d'éléments qui rendent les situations présentées crédibles et ces histoires n'en sont que plus magnifique. Comme quoi la simplicité ça paie ♥

Pour moi, Watanabe Shiho, c'est bien LA mangaka que je rêve secrètement (depuis bien 3/4 ans) de voir percer en France (avec mon Hatsukare de préférence >///<) et dont j'ai inondé ma team de scantrad en désespoir de cause (pour de vrai en plus, quand on y regarde bien *sifflote*).



Yahouuuu, la torture est terminée ! Mais c'est malin pour moi d'écrire cet à cette heure-ci (deux heures du matin bien tassée...), parce qu'en finalisant ces lignes je n'ai qu'une envie, aller relire un bon nombre des titres cités, pour ne pas dire tous !

Résultat de cet article... ? Je me dis que je n'ai jamais (ou presque) chroniqué les manga cité alors que tous les volumes ont durement morflé à être lu et relu. Je sais donc à présent quoi faire ! Et merci beaucoup au club shojo pour avoir pensé à moi pour cet article, au final même si c'était une torture, c'était aussi très amusant (et non, je ne suis pas masochiste) ♥

Et comme je n'ai pas été le seul agent sur cette mission, cours voir l'article des autres bloggeuses et découvrir par la même qui a été leur(s) nominée(s) ! C'est en tout cas ce que moi je vais faire, maintenant que j'ai terminé le miens ♪



* Je le précise ici, mais je n'ai volontairement cité que des mangaka pour lesquels j'avais lu plusieurs titres ou tout du moins, deux au minimums (raison pour laquelle elles sont au final si peu *rires*). Aussi certaines dont j'ai beaucoup apprécié un titre ne sont ici pas cité, puisqu'il s'agissait d'élire la meilleur mangaka et je me voyais au final mal réduire son travail à ce seul titre... Et puis j'en ai surement oublié vu que je n'ai pas arrêté d'en rajouter à mesure que j'écrivais cet article... =.=

samedi 19 avril 2014

Beast Master

Yuiko à toujours adoré les animaux mais son enthousiasme les as toujours fait fuir ! 

Désespérée de cet amour qui sera à jamais unilatéral, elle voudrait bien malgré tout récupérer son chat pour rentrer chez elle. Mais là encore, son enthousiasme prend le pas et celui-ci se réfugie dans un arbre... C'est là qu'elle fait la rencontre de Léo qui descendra de ce même arbre, couvert de sang, le regard meurtrier... Son chat dans les bras ?!

Après cette rencontre plutôt furtive (et inquiétante ?), c'est le lendemain en classe que Yuiko retrouvera Léo. Garçon plutôt effrayant pour la majorité de ses camarades, elle est très intriguée... Oui, vraiment ! Et quand elle le surprendra sur le toit à sympathiser avec les moineaux, son masque tombera. Loin d'être aussi effrayant qu'il n'y parait, Léo et Yuiko deviendront assez rapidement ami.

Mais ce que Yuiko ignore encore, c'est que Léo peut, par delà cette fausse impression, vraiment être effrayant et elle pourrait bien l'apprendre assez rapidement... !

2 volumes - Série terminée
Non licencié en France

Un assemblage de personnage stéréotypé...

Ici nous avons donc Yuiko, qui si l'on regarde bien ressemble beaucoup à Teru (héroïne de Dengeki Daisy) par certains côté. Mais bon, son petit côté enthousiaste à chaque fois qu'elle voit des animaux notamment la rend juste adorable et j'ai eu moi envie de lui faire part de mon propre enthousiasme à son égard *rires*. Et bien que je trouve son côté "je t'accepte comme tu es" ou "je n'ai pas peur" vis à vis de Léo pour ma part flippant par moment voir bizarre... Je m'y suis au final vite fait pour voir le titre dans sa globalité.

Si l'on regarde Léo à présent, c'est lui qui me faisait le plus peur. Un garçon tout doux, tout mignon qui peut se transformer en monstre meurtrier à la moindre vu de sang... Ca puait... je ne sais trop quoi, mais j'avais franchement peur du résultat. Si Léo m'a un peu confirmé ce que je craignais, je l'ai malgré tout trouvé adorable et bien que s'attacher réellement à lui est  difficile tant il est stéréotypé... J'ai quand même fini par m'y attacher au travers de Yuiko et de l'évolution de leurs sentiments. Il faut dire que c'était un scan de notre petit couple qui m'avait incité à lire ce manga ! 

Et au final, même avec un assemblage de stéréotype plus ou moins gros, j'ai quand même bien adhérer à notre couple et par lire l'histoire d'une traite, sans broncher ~


Et une histoire improbable... !

La encore, l'idée n'est pas original et sans vendre entièrement l'intrigue de ce titre, c'est un de nouveau un gros stéréotype. Mais bon, même avec un scénario tiré par les cheveux, sur un titre aussi court, c'est bien dur d'en tenir rigueur à l'auteur puisque ça n'a pas le temps de lasser tant c'est court. Donc même si l'histoire est un peu improbable, vue et revue dans dans de nombreux manga et archi stéréotypé / classique, ça se laisse lire et au final, ça reste plutôt sympathique même si ça ne vous marquera pas pour tout votre vie.

Quand aux deux extras glissés dans les deux volumes que compte la série, si j'ai apprécié le premier sur la jeune fille qui veut devenir pilote, je n'ai toujours pas réussi à me plonger dans le second (un truc avec cactus dans le titre... je crois ?). Mais j'y reviendrais surement prochainement ~





De prime abord, ce titre peut donc faire peur en raison de ces très nombreux stéréotypes qui y sont assemblé et additionné. Après, globalement, on oublie vite toutes ces petites choses qui pourrait chiffonner pour apprécier pleinement ce titre qui, sans être le titre de l'année m'a fait passer un bon moment en compagnie de nos héros ~





Chronique réalisé après la lecture des 2 volumes